Jeudi dernier, j’abordais le sujet du harcèlement d’un point de vue factuel, essayant de dresser la situation dans le contexte des jeux vidéo. Dans l’ensemble, bien que des lois existent pour punir ces comportements toxiques, le gaming donne beaucoup d’opportunités, voire peut encourager au harcèlement.
Dans cette deuxième partie, il est donc temps de mettre les mains dans le cambouis. Attaquons-nous à la question des moyens de se prémunir ou se défendre face à un harceleur qui est en position de force, très souvent le cas sur internet.
Avant tout, j’aimerais souligner le fait que je n’ai jamais été victime de harcèlement. Je peux donc manquer de sensibilité sur le sujet. La majorité de ce qui sera écrit provient de recherche ou de questions que j’ai pu poser autour de moi, mais rien dans ce billet n’aura valeur de témoignage. De plus, on va tout de suite retirer la solution de tout couper quand on est victime de harcèlement.
Certes, il est possible sur internet de bloquer, signaler ou même quitter une plateforme sur laquelle on se fait harceler, mais cela représente déjà une conséquence du harcèlement. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut pas considérer cette option. Néanmoins, si c’était la meilleure façon de faire, les harceleurs ne seraient jamais punis. Pire, ils pourraient se dire que c’est à la victime de faire avec la situation, ne comprenant jamais qu’ils sont le problème dans tout ça.
On entre là directement dans le cœur du problème : il n’y a pas de bonne solution au harcèlement. Il n’y a qu’un objectif : faire en sorte que cela cesse et limiter au maximum les répercutions sur la vie de la victime. Concentrons-nous sur ce point en particulier qui ne semble pas tout rose au vu du constat de la semaine passée.
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