Le harcèlement dans les jeux vidéo
Quand JudgeHype m’a proposé d’aborder le thème du harcèlement, je ne savais pas trop quoi répondre. Évidemment, c’est un sujet important, il ne faut surtout pas le passer sous silence. La question n’était donc pas de savoir s’il fallait ou pas utiliser cette plateforme, mais plutôt comment aborder ce thème si complexe du harcèlement, ici appliqué au monde du gaming.
Est-ce qu’on parle de tout quitte à ne pas être politiquement correct ? Est-ce qu’on prend parti selon notre subjectivité ou on fait au mieux pour rester factuel sur le sujet ? Faut-il aller chercher quelqu’un de plus légitime que moi pour en parler, comme une personne qui en a fait les frais ou qui a pu l’observer directement ? Et puis, qu’est-ce que l’on considère comme du harcèlement ou pas dans le monde d’aujourd’hui ?
Ma définition du harcèlement, c’est le fait d’impacter négativement le moral ou le physique de quelqu’un par des actions répétées, volontaires ou non.
Dans le cadre du jeu vidéo, cela peut être aussi élémentaire que l’envoi de messages répétés à quelqu’un qui ne montre aucun signe en retour. Ou aller beaucoup plus loin, en recherchant des informations sur une personne pour ensuite se pointer chez elle sans prévenir. Depuis un moment, l’exemple du harcèlement en ligne sont les “Shitstorm” ou “HateStorm” qui ont pour but de monter des communautés contre quelqu’un, et de lui faire vivre un enfer en ligne.
Ici, on se heurte déjà au premier obstacle : les jeux vidéo, ça s’arrête où dans le cadre du harcèlement ?
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