Deckard Cain : dernier sage d’un monde de brutes
Que ce soit dans World of Warcraft, Starcraft, Diablo ou Overwatch, tous les jeux blizzard sont basés sur le concept de guerre, d’affrontement entre les peuples. Ce sont des mondes de conflits permanents, où l’on retient surtout les plus puissants, les plus braves, ou les grands moments d’héroïsme.
Au milieu de tout ça, il y a Deckard Cain.
Il n’a jamais brandi d’épée légendaire ou lancé un sort devant nous. Pourtant, il savait surement où en trouver une, et je ne serais pas étonné qu’il connaisse les incantations pour caster boule de feu.
Il ne criait pas, n’imposait rien, sinon des conseils avisés et des histoires un peu longues sur le passé de Tristram. Il représentait la pause dans un hack and slash rempli de flammes, de monstres et de morts, comme pour dire au joueur “On n'est pas si pressé de finir”.
Peut-être était-il là pour nous faire passer un peu plus de temps sur le jeu. Comme pour nous faire perdre du temps à lire du texte, plutôt que d’enchaîner les actes, les boss et le farming d’objets. Peut-être. Mais à force de l’écouter, on s’y attachait. Et quand on pense à la licence Diablo, ce n’est pas forcément Tyraël ou Léah qui reviennent en tête. C’est Deckard Cain.
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